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Karl Wells - La discipline, c'est comme tout : c'est relatif.

Anonymous
InvitéInvité


Karl Wells

Informations générales


Nom : Wells
Prénom : Karl
Âge : 20 ans
Date de naissance : 15/08/1998
Date d'arrivée à Hampton Academy : 01/09/2018
Nationalité : Anglais
Origine(s) : Anglaises
Métier : Surveillant
Taille : 1m87
Poids : 71 kilos.
Orientation sexuelle : Hétérosexuel
Avatar : Jean Kirschtein - L'attaque des Titans


Physique & Caractère


Le jeune homme a un visage intriguant : expressif, trop long pour être beau, accentué par un menton et un nez pointus. Sa peau assez pâle est mise en valeur par des yeux marrons aux reflets jaunes ; au dessus, on trouve des sourcils bruns, très expressifs et souvent froncés.
Une moue blasée traîne souvent sur ses lèvres fines, mais laisse parfois la place à un sourire de pirate, asymétrique et provocateur.
Ses cheveux, quant à eux, sont souvent ce qui provoque l'étonnement : des cheveux foncés, presque bruns, sur les côtés et qui blondissent soudainement sur le haut de son crâne. N'y voyez aucune coquetterie de sa part, simplement une farce de Dame Nature, un pied-de-nez à la normalité. Au fil du temps, le jeune homme en a fait son parti, et arbore une coupe tout aussi étrange : ras sur la partie inférieure (nuque et côtés), et plus longs sur le haut.

Le jeune homme est tout en angles et en os : longues jambes, longues mains, long cou, épaules assez larges. Ses doigts sont abîmés et écorchés, traces de ses bagarres et de ses chutes à skate.

Le jeune homme est tatoué à deux endroits : sur son omoplate gauche, on y trouve la célèbre citation d'Albus Dumbledore : « It is our choices that show us what we truly are, far more than our abilities », et sur son flanc droit se trouve un petit système solaire stylisé.

Au niveau vestimentaire, prenez un demi-kilo de fripes, un quart d'achats spontanés et regrettés par la suite, une poignée de style grunge et une pincée de hasard en se levant en retard le matin : vous avez la dégaine de Karl.
Grand adepte du combo t-shirt + chemise, vous le pourrez aussi le voir porter un vieux blouson en cuir râpé ou même de simples sweat-shirts. Pour le bas, des jeans noirs ou délavés font son affaire.
A son plus grand dam, son contrat de surveillant le contraint à porter une chemise blanche et un pantalon noir lors de l’exercice de ses fonctions ; il s'amuse néanmoins à détourner cette sobriété imposée en agrémentant sa tenue d'une paire de Doc Martens montantes ou d'une paire de baskets.

Unique bijou de sa tenue, il porte au cou une chaîne argentée à laquelle est attachée une croix. Il la cache la plupart du temps sous ses vêtements. Sa religion ne le définit pas, et il n'a pas envie que les gens se fassent des idées sur lui à cause de ça. D'ailleurs, Dieu, il y croit sans y croire, souvent un jour sur deux et selon l'alignement des planètes.

Pour parler de son caractère, « Qu'est-ce-qu'il y a ? Tu veux ma photo ? Dégage ! » serait totalement le genre de phrase que Karl pourrait vous balancer, clope au bec et voix cassée, s'il vous surprenait à l'observer ainsi.

Il est comme ça, Karl : il n'a pas la langue dans sa poche ! Certains dirons qu'il veut se faire remarquer, d'autres que ce n'est qu'une grande gueule. Ces derniers ont raison, dans le fond. Il aboie, mais ne mord pas (ou rarement) et il est, avouons-le, un peu soupe-au-lait (pour ne pas dire carrément susceptible). Mais ça n'est pas un mauvais bougre pour autant ; à vrai dire, il manque cruellement de confiance en lui, et il n'a trouvé d'autre moyen de le cacher que d'exagérer son côté sans-gêne et son humour sardonique qui ne plaît pas toujours.

Sa manie de dire ce qu'il pense en direct et sans réfléchir ne rend pas la socialisation avec lui facile, croyez-moi ! La plupart des gens se vexent rapidement à son contact, et abandonnent toute envie de lui reparler. Mais le jeu en vaut pourtant la chandelle ; derrière son air bourru et sa détestable manie de porter des écouteurs tout le temps, Karl peut être une personne agréable, attentionnée, adorablement maladroite, et avec qui il est facile de rire de tout et de rien.
Il est également loyal, mais terriblement rancunier : il peut être le meilleur des amis, mais si jamais vous le trahissez ou le blessez dans son orgueil, il deviendra votre pire ennemi, et ne manquera pas une seule occasion pour vous le rappeler.
Bien sûr, vous imaginez bien qu'avec un caractère pareil, ses amis ne sont pas forcément très nombreux, mais il s'en fiche… ou plutôt, il s'en fichait, puisque depuis qu'il a décidé de se reprendre en main, ses quelques amis l'ont lâché un par un, le trouvant « chiant », « changé ». Tant pis. Il a ravalé sa déception et il a continué à tracer sa route.

Lors de son embauche à Hampton en tant que surveillant, on lui a demandé d'apprendre à faire preuve de patience, d'arrondir les angles. Évidemment, il n'en a rien fait. Il est resté le même : franc, grinçant, et terriblement… lui.
Et tant pis si ça déplaît aux gosses de bourges d'être traités comme les autres, c'est sa façon d'être. Honnêtement, que vous respectiez ou non le règlement, il s'en fiche : lorsqu'il était élève à Hampton, il était le premier à passer outre, c'était même une discipline olympique pour lui. Mais par exemple, il ne saurait supporter que vous humiliiez un élève devant lui, ou que vous vous en preniez à cinq contre un. L'injustice et la méchanceté gratuite, il déteste ça.

Quand il n'est pas en train de travailler pour l'établissement, vous le trouverez en train de rêvasser ou de fumer dans son studio sous les toits de Hampton ou bien en train de faire des figures dans un quelconque skate-park en ville. Le jeune homme est adepte de ce sport depuis ses douze ans, et il a atteint un niveau de maîtrise tout à fait convenable. Enfin, son esprit scientifique et rationnel (qui lui a toujours permis d'avoir des bonnes notes, malgré son attitude nonchalante) est contrebalancé par une énergie créatrice, un besoin d'occuper ses mains et son esprit à déceler la beauté dans le monde qui l'entoure. Il a pratiqué la sculpture, la peinture, la photographie. Aujourd'hui, par manque de temps, il se contente de dessiner fugacement des instants de son quotidien, des visages qui l'ont marqué, des idées jetées en l'air.
Enfin, Karl est un grand fan de la saga Harry Potter : il adore cet univers fantastique, et il se sent proche des personnages comme de personnes réelles.



Histoire


« Tu sais, commença-t-il, quand j'y réfléchis, je me dis que ma situation actuelle ne dépend que de deux petits moments. Enfin, trois, si on compte le moment où mes parents ont… bref. » Il chercha le regard de son interlocuteur, gêné. « Et ces deux moments se sont déroulés ici-même, à Hampton. Incroyable, non ? Eh ouais. Les jeunes d'aujourd'hui ne se rendent pas compte à quel point les entrevues avec le directeur sont importantes », philosopha-t-il en s'allumant une cigarette. Il surprit le regard désapprobateur qu'on venait de lui lancer, et répliqua, sur le qui-vive : « Oh ça va hein ! Tu vas pas t'y mettre non plus ! Bref. Où j'en étais ? Ah oui, le directeur. Le premier moment, c'est quand il m'a convoqué. A l'époque, j'avais… On a quel âge en Year 13 ?.. 17, 18 ans ? Un truc du style. Je t'avoue que je n'avais même pas été surpris en recevant la convocation. Il faut dire, ça me pendait au nez, et je savais très bien que mes bons résultats n'allaient pas me protéger éternellement. Parce que ouais, aussi étonnant que ça puisse être, j'étais un bon élève ! Même que ça faisait enrager les profs, j'te raconte même pas. Je voyais bien que ça les tuait que ce soit moi, le plus insolent de la classe, qui me tape les meilleures notes en physique et en maths. En plus, j'étais un Modeste, alors t'imagine... C'était tordant à voir. Mais je m'égare… Donc, ouais, j'avais été convoqué en début d'année, pour une vague histoire d'intimidation. C'était pas la première fois que j'étais convoqué, mais par contre c'était la dernière. Je te la fais courte : ils ont appelé mon père, il est venu, le Directeur m'a fait un sermon pendant une heure sur les "opportunités que je perdais", "les profs que je décevais", "mon talent que je gâchais". C'était ridicule, il y croyait même pas, ça se voyait. J'ai même pas essayé de me défendre, j'étais coupable et je le savais. Et puis, j'étais plus occupé à essayer de disparaître dans mon fauteuil pour échapper au regard de mon père qu'autre chose. Juste pour éviter son regard, j'aurais mille fois préféré qu'on me tue sur place. Pour le coup, lui, il avait vraiment l'air déçu. » Karl s'interrompit, pensif. L'air était frais, et, malgré son sweat, il frissonna.

Il tira une bouffée de nicotine, de goudron et de quarante autres substances cancérigènes, et reprit, la voix rauque : « Je sais même pas pourquoi il était surpris. Après tout, c'est pas comme si j'avais été un élève exemplaire avant, si ? Combien de fois il a reçu des lettres me concernant ? Entre les deux trafics d'herbe, les multiples bagarres et l'insolence en cours, j'suis sûr qu'on aurait pu retapisser les murs de la maison avec des lettres de la vie scolaire. Mais le pire, dans tout ça, c'est que j'aurais accepté d'être viré pour tous les motifs que je viens de citer. J'étais coupable à chaque fois, je l'admets. Mais là, je me suis fait virer pour autre chose, je le sais bien. Tu sais, quand je te parlais d'intimidation ? En fait, ce qu'il s'est passé, c'est qu'il y avait un des ces connards d'Élite là, ceux qui pètent plus haut que leur cul, qui était en train de s'amuser à se foutre de la gueule d'une gamine de Year 10. Alors moi, comme un con, avec ma rage et mon dossier scolaire bien rempli, je suis allé lui dire deux mots. Je l'ai même pas frappé hein ! J'ai juste sous-entendu que je pourrais éventuellement y penser s'il recommençait. Eh bah, ça a pas raté, deux jours plus tard j'étais convoqué sur "plainte anonyme". Anonyme mon cul ! » Karl cracha cette dernière phrase. Il souffla bruyamment par le nez, comme pour extérioriser toute la colère qui commençait à monter en lui. « Par contre, je te jure que le surlendemain de mon exclusion, je me suis fait un malin plaisir à l'attendre à la sortie, ce salaud. Je m'en souviens comme si c'était hier : il a essayé de fuir quand il m'a vu, je l'ai attrapé, chopé par le col, et je l'ai foutu dans les douves. Ah ! T'aurais dû voir sa tête et celle de ses potes ! »

Pendant que le jeune homme commençait à rire, réjoui par ce souvenir, il croisa les deux yeux noirs qui le toisaient, impassibles. « Fais pas ta sainte-nitouche, n'importe qui aurait fait pareil ! Au pire, pense ce que tu veux, j'm'en fiche. Donc, je disais que mon père était déçu. Grave déçu. Le directeur a fini de me faire la morale, il a serré la main de mon père et il lui a dit qu'il était désolé avec un air vraiment désolé, mais qu'il ne pouvait rien faire d'autre. Puis on s'est barré tous les deux. Mon père a pas dit un mot sur le chemin, ni même quand on est entrés dans la voiture. Et moi, j'osais trop rien dire, j'étais dans mes petits souliers tu vois. Bon, au bout d'un moment j'en pouvais plus de son silence, alors je lui ai dit que c'était pas grave, que j'allais trouver un job et tout, il a rien dit. J'crois qu'il a eu raison de rien dire, en fait. J'pense qu'il savait, d'une façon ou d'une autre, que j'allais pas le faire. Au final, au lieu de montrer à mon père que je pouvais me rattraper, j'ai foutu ce qui restait de mon année et celle qui a suivi en l'air. Je passais tout mon temps en ville, à traîner avec mes potes et à me défoncer, à l'alcool ou aux pilules. Je rentrais à la maison une fois par semaine, et moins je rentrais, plus je me sentais mal d'y retourner. C'était un foutu cercle vicieux. Et à chaque fois que je rentrais, qu'il soit deux heures de l'après-midi ou quatre heures du mat', je trouvais mon père debout. Et à chaque fois, il disait rien. Je voyais bien qu'il détestait qui j'étais en train de devenir. » Le jeune homme écrasa son mégot et laissa un silence de circonstance. Il releva également le premier signe d'intérêt de la part de son interlocuteur, qui penchait la tête.

« J'crois que je l'aurais tué de chagrin, à force. C'est vrai quoi, moi, son fils unique, le fils qu'il a eu avec la femme qu'il a follement aimé et qui l'a quitté pour une autre, j'étais en train de devenir un putain de camé, incapable de penser à autre chose qu'à la prochaine fois où il se mettrait minable. Ouais. Je l'aurais tué, je pense, si le directeur m'avait pas recontacté. En juin dernier, un jour où je combinais le fait d'être plus ou moins clair et d'être à la maison, j'ai reçu une lettre estampillée Hampton. Au début, j'ai cru que c'était une vieille lettre qui s'était perdue, ça arrive souvent ce genre de truc, mais non. C'était le directeur qui voulait me voir. J'étais pas chaud pour y aller, je me suis dit qu'il allait peut-être m'annoncer que l'établissement avait réussi à prouver que c'était moi qui avait relâché toutes les sauterelles dans la salle de bio en 2015 et qu'il portait plainte contre moi, tu vois. Mais bon, mon père m'a dit d'y aller, et j'ai lu dans ses yeux que si j'y allais pas, j'allais perdre le peu d'espoir qu'il avait encore pour moi. Je… Attends trente secondes. » Karl s'arrêta, sortit son paquet de cigarettes, son briquet, et en alluma une autre qu'il glissa entre ses lèvres. « J'ai pas le droit de fumer ici normalement, mais tu diras rien hein ? Je compte sur toi, glissa-t-il, conspirateur. Donc ouais, je me suis pointé, sans trop savoir pourquoi. J'avais même fait un effort vestimentaire : j'avais piqué une vieille chemise de mon père et mis un pantalon noir. Et là, pile à l'heure indiquée sur la lettre, le directeur m'a reçu dans son bureau. Et vas-y qu'il me serre la main, qu'il me dit qu'il est content de me voir et tout. Je m’assois en face de lui, comme je l'avais fait plus d'un an et demi avant, et là, il me dit, sans complexe, que j'étais un élève intelligent et que, même si la discipline laissait à désirer, il regrettait de m'avoir renvoyé. Et que du coup, il voulait me proposer un poste ici ! Il m'a même dit, comme ça : "Oui, tu es sûrement une des personnes qui connaît le plus de cachettes et de passages dérobés ici, tu seras excellent dans ce rôle." Et là, alors que je m'apprêtais à refuser, parce que je voulais pas incarner ce que j'avais fui pendant toute ma scolarité, il m'a dit avec un air bizarre : "Et puis, je connais ton sens de la justice… Je sais qu'avec toi, les élèves les plus vulnérables seront en sécurité". Et là, tu vois, j'ai su, j'ai su qu'il savait pour la gamine. J'ai su qu'il m'avait appelé pour ça, parce que je devais protéger les Modestes et les petits des comportements de certains élèves, qu'il ne pouvait pas punir lui-même parce que leurs parents sont pétés de thune. Et là, j'ai dit oui. » Il sortit son téléphone, regarda l'heure, et répondit rapidement à un message de son père.
« Voilà. Voilà comment en deux convocations chez le dirlo, pardon, Monsieur le Directeur, j'ai changé le cours de ma vie. Bon, évidemment, ça a pas trop plu à mes "potes" quand je leur ai dit. Je crois qu'ils pensaient que j'allais refuser pour leurs beaux yeux, que j'allais continuer à foutre ma vie en l'air et en me défonçant tous les soirs avec eux. D'ailleurs, ils ne me parlent plus. Je suis trop "chiant", apparemment. Dommage. Au moins, j'ai été vite fixé sur la sincérité de leur amitié. C'est mieux comme ça j'imagine. Et puis du coup, j'ai arrêté avec les conneries. Je ne pouvais pas continuer comme ça... »

Le jeune homme se releva alors, et frotta ses mains contre son pantalon. Face à lui, le mur de briques rouges du château de Hampton et ses douves. Derrière lui, un immense parc verdoyant. Il salua son interlocuteur en agitant la main : « Allez, bye le canard, je commence bientôt ma journée. Va falloir que j'accueille les gosses et leurs parents. » Le canard secoua ses ailes, surpris par le redressement du blond. « T'es sympa, mais t'es pas très causant, tu sais ? » Le volatile, qui était resté relativement tranquille pendant le monologue de Karl, décida alors d'aller faire un brin de toilette, et s'éloigna pour plonger sa tête sous l'eau. Le jeune homme secoua la tête, et partit d'un pas nonchalant vers le château.

En marchant, il confirma par SMS à Summer sa présence à la réunion des Narcotiques Anonymes le soir-même. Il avait commencé les réunions au début de l'été, et avait combiné celles-ci, qui avaient lieu tous les soirs, avec une réunion hebdomadaire aux Alcooliques Anonymes. Ça l'avait aidé, plus qu'il ne l'aurait cru. D'ailleurs, ça n'était pas vraiment les réunions en elles-mêmes, mais surtout Summer, qui était responsable des deux cercles. Karl avait sympathisé avec elle et elle avait réussi à le faire sortir de sa carapace de rancœur. D'ailleurs, c'était presque pour elle qu'il avait commencé à maîtriser ses addictions. L'alcool, c'était plié : après deux semaines de sevrage qui avaient été atroces, il était maintenant bien décidé à ne pas recommencer. Pour la drogue... Il avait coupé les ponts avec son dealer régulier de "cachets", et vivait depuis quelques semaines sur ses réserves d'herbe, qu'il fumait le plus lentement possible. Par contre, il redoutait le moment où il serait à sec. On avisera, pensait-il alors pour se rassurer.



Vous et le forum

Surnom et âge : Karlotte aux fraises.
Comment avez-vous connu le forum ? DC de Leopold !
Un petit commentaire ? J'étais obligée de faire un perso avec Jean comme avatar. Je vous jure, il m'a parlé dans mon sommeil.


Dernière édition par Karl Wells le Sam 24 Mar - 16:11, édité 5 fois
Anonymous
InvitéInvité
Hééé o/

Du coup, j'ai tout lu ! Ca me parait bien, juste un petit point : tu n'as précisé nul part s'il avait stoppé drogue/ surplus d'alcool. Du coup, même si ça me semble logique, si tu sais ajouté un point là-dessus ce sera parfait Very Happy

J'adooore ton personnage sinon, il est vachement cool et j'ai hâte de te voir le jouer !

Et du coup, une fois que tu auras ajouté des détails sur son arrêt (ou pas et alors faudra bien le cacher 8D ), tu seras validée ♥️ Bisouuus
Anonymous
InvitéInvité
Merci Hayley !
Je pensais avoir plus à corriger, je suis assez contente haha. J'ai ajouté un paragraphe à la toute fin de l'histoire pour expliquer tout ça ! o/

Héhé, j'ai hâte de le jouer oui. En plus ça sera un voisin d'Aiji huhu 8D
Anonymous
InvitéInvité
C'est perfecto !

Tu es donc validé haha et je pense pas avoir besoin de te lister ce que tu as à faire Very Happy ! J'ai hâte de te voir le jouer 8D
Anonymous
InvitéInvité
Merci ! Karl Wells - La discipline, c'est comme tout : c'est relatif. 2452489282
Oui ne t'en fais pas, je pense savoir à peu près quoi faire haha. xD Merci pour la création de mon logement au fait ! :3
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La date/heure actuelle est Ven 29 Mar - 7:22
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